La Reichskristallnacht (ou: Pogromnacht) se déroula dans la nuit du 9 au 10 novembre 1938 et dans la journée qui suivit.
Pour commémorer ce drame, en association avec le Consistoire Israélite du Bas-Rhin et la ville de Kehl, nous procéderons au polissage des Stolpersteine déjà posés dans les rues de Strasbourg et du département.
Joignez-vous à nous pour honorer la mémoire des victimes, le dimanche 7 novembre. Vous trouverez ici les détails de la manifestation.
C’est la ville de Barr, avant les communes des Bouxwiller, d’Ingwiller, d’Oberhoffen-sur-Moder, de Bischwiller, de Wolfisheim et de Diemeringen, qui la première a accepté d’ouvrir la série de poses des Stolpersteine dans notre département le vendredi 2 juillet.
C’est à la mémoire des quatre membres de la famille Weill, Jaques-Isaac, Lucie, Henri et Lise, et devant leur dernier domicile du 10 rue du Docteur Marcel Krieg, que ces pavés de laiton dorés ont été scellés devant les membres de la familles Rosenbach venus d’Israël, de Paris, de Lyon et de Strasbourg. La maire, Nathalie Ernst, l’ensemble des élus du Conseil municipal de la ville, des sénatrices et députés, des représentants du CIBR, du FSJU, du CRIF, des présidents d’association, des représentants des cultes et du Souvenir français, des principaux de collège et proviseurs de lycée, des membres du conseil municipal des jeunes, des représentants du 6ème Rmat de Gresswiller… ont assisté à cette émouvante cérémonie présidée par l’Association Stolpersteine 67.
Muriel Rosenbach, petite fille descendante de la famille Weill, a évoqué le souvenir de la famille et celui de sa maman qui a échappé à la rafle du 6 janvier 44 à Lyon. Après leur internement à Drancy, les parents et les deux enfants furent assassinés le jour même de leur arrivée à Auschwitz le 8 février 1944.
C’est le grand rabbin, Harold-Abraham Weill qui
a dit à l’issue de la cérémonie le El
Malé Rahamim, un ami de la famille Rosenbach, Jean-Pierre Adjedj a conclu la
cérémonie par un Kaddish, deux prières qui n’avaient jamais été dites à la
mémoire des 4 membres de la famille Weill arrachés à la vie et disparus dans la
tourmente.
Marque de commémoration individuelle qui vient contrer l’idéologie massive de la destruction des Juifs d’Europe durant la Seconde Guerre mondiale, ces Stolpersteine sont devenus en l’espace de 28 ans, le plus grand mémorial décentralisé de la Shoah et de la déportation dans le monde avec près de 76 500 pavés scellés devant le dernier domicile des victimes. En 2022, c’est dans la ville de Strasbourg que seront posés près de 30 Stolpersteine.
Richard Aboaf, Président de l’Association Stolpersteine 67
Nous avions pu procéder à la pose de vingt Stolpersteine à Strasbourg en mai 2019, mais malheureusement il nous avait été impossible de réaliser les poses prévues au printemps 2020.
Après une année d’attente, nous pouvons enfin, dès aujourd’hui 2 juillet à 14h, reprendre notre programme de poses, avec celles de cinq Stolpersteine à Barr, pour la famille Weill qui habitait au 10 Avenue du docteur Marcel Krieg, et se composait de Jacques Isaac, Lucie, Henri et Lise.
Le 27 janvier 2021, à 18h30, nous nous réunissons à nouveau pour notre 2me assemblée générale. Tous sont bienvenus, mais seuls les membres à jour de cotisation au 31 décembre 2020 (ils ont reçu un courriel ou un courrier) peuvent voter.
L’ordre du jour est:
Présentation du rapport d’activité et discussion des poses en 2021;
Présentation du budget de l’association pour l’exercice 2020 et approbation des comptes;
Présentation du projet de budget pour l’exercice 2021 ;
Élection de nouveaux membres du Conseil d’Administration (remplacement par tiers ; quatre sièges ouverts au vote);
Élection de vérificateurs/vérificatrices aux comptes pour l’exercice 2021 ;
Fixation du montant des cotisations ;
Questions diverses.
L’assemblée se tiendra en ligne. Les détails de connexion seront communiqués ultérieurement. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions.
Chères et chers membres, votre présence est importante pour faire vivre l’association, et pour parvenir au quorum de un tiers de membres présents, et une moitié de membres présents ou représentés. Si vous ne pouvez pas participez, donnez procuration à un autre membre.
Vendredi 11 octobre, à l’invitation
du président Robert Hermann, le projet Stolpersteine a été présenté aux 33
maires de l’Eurométropole au Salon carré du Centre administratif. A cette
occasion, Anne Thomas, responsable
internationale du projet Stolpersteine venue de Berlin, a présenté la genèse du
projet de l’artiste Gunter Demnig ainsi que sa dimension européenne, Fabienne
Regard, historienne et présidente de l’Association Stolpersteine 67 a développé
le projet local et son extension aux communes de l’Eurométropole et au
Bas-Rhin. Michel Benoilid, directeur de l’école ORT de Strasbourg, a abordé la
dimension pédagogique du projet Stolpersteine, Richard Aboaf, plasticien et
historien d’art, vice-président de Stolpersteine 67, a abordé le thème du
Street art mémoriel et les Stolpersteine dans l’espace public. Les membres de
l’association ont ensuite répondu aux questions des élus sur les conditions de
poses, les démarches à suivre ainsi que le coût de ces pavés de la mémoire…
C’est le Memorbuch du Grand rabbin René Gutman qui a servi de base de
travail aux prochaines poses qui s’échelonneront entre 2020 et 2030. Plus d’une
centaine de pavés de la mémoire concernant au moins une dizaine de communes de
l’Eurométropole, comme Wolfisheim, Lingolsheim, Bischheim, Fegersheim,
Illkirch-Graffenstaden, Schiltigheim, Hoenheim, Kolbsheim, Oberschaeffolsheim…
pourront être posés à la demande des familles et descendants des déportés et
avec l’autorisation des maires de ces communes dans l’espace public pour
commémorer leurs anciens résidents, victimes de la Shoah.
Ces poses de Stolpersteine s’étendent aussi dans le Bas-Rhin, les
communes de Barr, Diemeringen, Bouxwiller, Ingwiller et le Sonnenhof de
Bischwiller, verront leurs premiers pavés posés au lendemain de Pessah 5780.
Après les recherches historiques effectuées cet été à Yad Vashem et aux Archives
départementales 67 par les étudiants en Histoire de l’association, La Fondation
de Berlin vient de nous communiquer son accord.
A l’occasion de cette réunion devant l’ensemble des maires de l’Eurométropole, des livrets sur l’historique des Stolpersteine réalisés par l’ORT Strasbourg ont été distribués aux 33 élus présents et l’exposition, qui est en itinérance depuis sa création en janvier 2019, proposée aux maires qui souhaitent la présenter dans les écoles ou les mairies de leurs communes.
Richard Aboaf, Vice-président de l’association Stolpersteine 67
En juin 2019, Richard Aboaf a publié un long article expliquant les enjeux de la pose des Stolpersteine dans les villes européennes, et plus particulièrement les aspects mémoriels et artistiques.
L’association Stolpersteine 67 a appris avec émotion le décès de Zeev Sternhell, le 21 juin 2020, à Jérusalem. Né en Pologne en 1935, il avait perdu son père mobilisé dans l’armée polonaise au début de la deuxième guerre mondiale, et sa sœur et sa mère dans la Shoah, assassinées dans le camp d’extermination de Belzec.
Après une thèse consacrée à Maurice Barrès, il fut un grand historien du
fascisme et du nazisme en Europe entre les deux guerres, développant la
théorie
qui suscita de nombreuses discussions, de l’ancrage de ces mouvements
dans l’histoire de la France de la fin du XIXme siècle et la remise en
cause des philosophies des Lumières.
Zeev Sternhell fut également un intellectuel engagé dans la vie de son pays. Il fut membre fondateur de l’ONG «La Paix Maintenant», s’exprima dans la page « Opinions » du quotidien israélien Haaretz, et s’éleva contre la colonisation dans les Territoires palestiniens.
Alors que la crise sanitaire nous a empêchés de procéder à la pose de nouvelles Stolpersteine ce printemps, comme il avait été prévu avec Gunter Demnig, les DNA ont publié un nouvel article le 15 juin sur notre association et nos actions. Notre président Richard Aboaf revient sur l’impact du COVID-19 sur les manifestations mémorielles.
À l’approche des poses du printemps 2020 en hommage aux victimes du Sonnenhof, Richard Aboaf, vice-président de l’association, publiait cet article dans le journal « Échos Unir »:
Ils s’appelaient Maurice Trunschgunsky, Henry Batjel, Marcel Lévy, Lucien Kahn, Alice Dreyfus, Caroline Bohr… ils avaient entre 7 et 55 ans, ils étaient tous handicapés et résidents de la Fondation protestante du Sonnenhof durant la guerre, ils ont été déportés à Auschwitz ou ils ont disparu sans laisser de traces entre le 24 juillet 1940 et le 10 décembre 1942.
Au mois de mai dernier, Gerdy Dreyer conservateur du musée du Sonnenhof a invité les porteurs du projet et les responsables de l’Association Stolpersteine 67 à la Fondation du Sonnenhof*, il leur a fait part de son souhait de placer à l’entrée du musée ainsi qu’à l’annexe des Trois Tilleuls d’Oberhoffen, des Stolpersteine à la mémoire des résidents juifs déportés ou disparus durant la guerre. C’est en avril 2020 que leur mémoire sera scellée dans les parterres de la Fondation par la pose de Stolpersteine.
La Fondation Protestante Sonnenhof à Bischwiller est le premier établissement ouvert en Alsace-Lorraine pour l’accueil de personnes handicapées mentales. Créé en 1876 le Sonnenhof reçoit aujourd’hui, dans une structure de type « village thérapeutique » et à travers des prises en charge très diversifiées, plus de 500 malades/résidents de toutes confessions pour de longues durées.
C’est dans le cadre d’une étude rétrospective sur l’appartenance confessionnelle de toutes les personnes reçues dans l’établissement depuis l’origine, que le docteur Othon Printz, (ancien directeur du Sonnenhof et ancien président du conseil d’administration de l’hôpital créé par Albert Schweitzer à Lambaréné au Gabon) a fait une découverte tragique concernant le traitement réservé aux résidents juifs durant la seconde guerre mondiale. Il a réalisé un extraordinaire travail de recherche historique et de mémoire sur le sort qui fut réservé aux handicapés juifs de la Fondation.
En 1977, dans un article du Journal du Sonnenhof, il est fait mention du programme T4 ;cette loi secrète d’Hitler sur l’euthanasie des malades mentaux et des handicapés n’a pas été appliquée aux résidents de la Fondation, par contre la déportation des juifs handicapés a malheureusement touché le Sonnenhof. Deux malades de confession juive avaient été rapidement recensés pour être « transférés » ailleurs. L’un a effectivement été déporté et n’est plus revenu. Le second, qui devait être emmené le même jour doit son salut aux conséquences de douleurs intestinales probablement dues à une émotion lorsqu’il a été saisi par les autorités SS, ceux-ci, pressés de repartir, ont décrété qu’ils allaient revenir avec une autre voiture un autre jour et ne sont jamais revenus. Ces deux faits se basaient sur les témoignages du médecin d’alors et celui d’une éducatrice en fonction à cette époque.
L’exploitation plus précise des documents du centre par le docteur Printz et la découverte de nouveaux éléments, ont conduit à formuler cette tragique conclusion : tous les résidents juifs, sans exception, ont été hélas déportés. Un seul, le « miraculé de la belle histoire » citée plus haut, a survécu.
Le 31 décembre 1939, le Sonnenhof de Bischwiller et l’annexe des Trois Tilleuls d’Oberhoffen accueillaient dix résidents de confession juive. Le 10 décembre 1942 il n’y en avait plus aucun.
Le 24 juillet 1940 sept départs sont notés. Cinq hommes ont été recherchés par les SS au Sonnenhof à Bischwiller et deux femmes à l’annexe des Trois-Tilleuls d’Oberhoffen. Les résidents étaient âgés de 7, 17, 19, 21, 27, 35 et 55 ans. Trois étaient originaires de Strasbourg, un de Haguenau, deux de villages du Bas-Rhin et un de Cernay dans le Haut-Rhin.
Le 10 décembre 1942 ont eu de nouvelles déportations. Il s’agit des deux seuls résidents juifs qui demeuraient encore à la Fondation. En effet, une résidente qui restait après la première rafle était décédée le 12 novembre 1942, soit un mois avant la seconde déportation. Les résidents concernés étaient âgés de 17 et 19 ans et avaient séjourné au Sonnenhof durant cinq et neuf ans. L’un était né à Cologne, l’autre à Metz.
Aux deux déportations de résidents juifs il faut ajouter l’expulsion par les nazis, à la même date et avec la même mention, d’une résidente originaire de Moselle de confession catholique mais dont le père était juif.
Que sont devenus les résidents handicapés déportés ?
Lors de la première déportation du 24 juillet 1940
MauriceT. a été envoyé, comme tant d’autres personnes, à Drancy avant de partir en train pour Auschwitz… Marcel L. est également mort en déportation. Un jugement déclaratif de décès a été prononcé le 10 janvier 1951 par le tribunal d’instance de Strasbourg. Celui-ci a fixé la mort en déportation au 24 juillet 1940, c’est à dire au jour de son départ du Sonnenhof ! Pierre C. a été admis, très rapidement après avoir quitté le Sonnenhof, on ne sait dans quelles conditions, dans un hôpital psychiatrique de Lyon où il a passé le reste de sa vie et où il est décédé le 10 janvier 1985. Pierre B. protestant mais sans doute de mère juive, a été accueilli à la Fondation John Bost de La Force en Dordogne le 7 février 1941. Il y est décédé le 18 avril 1952. André dont la légende disait qu’il était resté au Sonnenhof, a été de fait enlevé. Il a pu être récupéré par sa famille qui l’a emmené en zone non-occupée. Une partie de la famille, dont André, a survécu et est revenue en Alsace en 1947. André a été reconfié au Sonnenhof le 4 septembre 1947 où il a passé le reste de sa vie. Désormais il repose au cimetière juif de Bischwiller.
Quant à Lucien, Alice et Caroline, leur état civil a été consulté. Il n’y figure ni mention de décès, ni mention marginale. A travers un organisme de recherche allemand et avec l’aide du Centre de Documentation Juive Contemporaine nous avons essayé de retrouver ce qui est advenu d’eux. Malheureusement aucune des deux instances n’a trouvé mention de leurs noms, Lucien, Aline et Caroline ont probablement été assassinés dans la région, disparus à jamais sans laisser de traces…
Les déportations du 10 décembre 1942
Henri né à Metz est décédé en Pologne au camp de concentration d’Auschwitz le 1 juillet 1944 le lendemain de son arrivée. Joachim né le 4 avril 1923 à Cologne en Allemagne. est décédé le 15 février 1998 à Pessac, près de Bordeaux, dans un hôpital psychiatrique. Joachim était juif de nationalité allemande, l’un de ses oncles, un nazi allemand était un de ceux qui avait contribué au développement de la théorie raciale de l’antisémitisme. Cet homme, qui s’était forgé une généalogie bien aryenne, avait certainement grand intérêt à voir son neveu handicapé juif disparaître ailleurs que dans les camps allemands où, une « comptabilité » très pointilleuse a été tenue sur les origines et ascendants des déportés. Irène née en Moselle, catholique mais de père juif déporté, a été expulsée vers son département d’origine puis, heureusement, confiée à sa mère. Au décès de la mère, Irène a été accueillie dans une institution. Elle y est décédée le 9 novembre 1993.
Quelques observations sur ces déportations : les premières, celles du 24 juillet 1940, concernent exclusivement les juifs alsaciens. Cette rafle, effectuée par « G », lettre qui désigne la Gestapo, se situe dans le cadre général de l’expulsion de tous les juifs d’Alsace.
L’historien Bernard Vogler note dans son ouvrage sur L’histoire politique de l’Alsace que c’est précisément en juillet 1940 que les déportations de juifs de la région ont été les plus importantes. A Bischwiller, annexé sur le plan administratif, les Allemands ont installé comme Maire le badois Karl Doll le 22 juin 1940, c’est-à-dire le lendemain de l’entrée des troupes allemandes dans la ville. L’avant-veille, le 20 juin 1940, Wagner avait été nommé par Hitler Gauleiter pour l’Alsace…
Dans son Histoire de Bischwiller, Walter Rinkenberger relate que c’est en juillet et août 1940 que le Parti national-socialiste a arrêté les citoyens israélites qui n’avaient pas pu quitter la ville. Ainsi l’histoire générale de l’Alsace, l’histoire de la ville de Bischwiller et celle, très particulière du Sonnenhof, se rejoignent dans le malheur. Avec une méticulosité démoniaque il fallait, avant toute autre préoccupation, rendre l’Alsace « pour la première fois de son histoire, libre de tout juif » , »Judenfrei zum ersten mal in seiner Geschichte« .
Le docteur Printz écrit le 6 juillet 1999, quelques temps après cette découverte :
« Le problème soulevé par la déportation de tous les résidents juifs du Sonnenhof durant la période nazie est d’abord un constat dramatique que nous avons à assumer, aujourd’hui comme hier et demain. Que cette vérité tragique ait été si longtemps cachée, voire enjolivée, doit nous interroger. Qu’elle m’ait été révélée, dans son ampleur et sa brutalité, après le terme de mon mandat, alors qu’elle s’est clairement posée à moi dès le début de celui-ci, me trouble. Pourquoi ? Pour quoi ? A part une sorte d’obligation de rappel au devoir de vigilance face à d’éventuelles agressions nouvelles envers les personnes handicapées, je n’ai pas trouvé de réponse satisfaisante à mon questionnement très personnel.
Aussi, je ne puis pour l’heure faire autrement
qu’écouter ceux qui ont connu, dans leur chair et leur âme, les atrocités de la
Shoah, qui ont survécu à l’holocauste et de surcroît sont à même de nous en parler.
Elie Wiesel est l’un de ces témoins. A la femme du pasteur Niemoeller il a confié cette parole : « Das Geheimnis der Elösung heisst Erinnerung » – « Le secret de la délivrance s’appelle souvenir » ou encore : « C’est au coeur de la mémoire que se trouve le mystère de la rédemption. »
Dans cet esprit nous nous sommes adressés au mémorial de Yad Vashem à Jérusalem. Aujourd’hui les noms de Lucien, Caroline et Alice sont inscrits et, selon les termes de la lettre que nous avons reçue, « conservés dans la Salle des Noms et leur souvenir perpétué à tout jamais à travers les générations futures. » Othon Printz
Références, sources bibliographiques et sitographiques:
L’étude complète peut être consultée au Service International de Recherches – Grosse Allee 5-9 D-34444 BAD AROLSEN.
Bernard Vogler – L’histoire politique de l’Alsace – 1996, La Bibliothèque alsacienne, Ed. Nuée bleue, Du quotidien
Walter Rinkenberger – Histoire de Bischwiller, Asso. des amis du musée de la Laub, Bischwiller, 1990
*Le Sonnenhof est une fondation protestante qui
accueille et accompagne, depuis plus de 130 ans, les personnes déficientes
intellectuelles, atteintes du trouble du spectre autistique, polyhandicapées de
l’enfance à la fin de vie, ainsi que les personnes âgées dépendantes. Le
Sonnenhof est implantés dans 6 communes du Bas-Rhin (Bischwiller,
Oberhoffen-sur-Moder, Hoerdt, Reichshoffen, Marmoutier et Erckartswiller
Publié le
Un article dans Écho Unir
Notre présidente Fabienne Regard a publié dans Écho Unir un article qui décrit notre projet, nos méthodes de travail, et quelques-unes de nos actions estivales: lire l’article.